La Petite Boutique des Horreurs

Un pur bijoux de navet comme je les aimes tant !! Il s'agit d'un film très spécial qui a marqué mon enfance au fer rouge. Ce fut mon premier film culte et je doit dire qu'encore aujourd'hui j'en subit l'influence. 

Je n'ajouterais rien de plus car j'ai trouvé une excellente critique sur FilmoTV dont voici une partie :

Durée 72 minutes
Couleur Non
Pays Etats-Unis d'Amérique
Année de sortie 1960

SYNOPSIS
Au départ, il était plutôt sympa ce bulbe. On aurait dit une tulipe, ou un artichaut. Et puis, il s'est mis à grossir, à grossir, jusqu'à devenir grand comme le magasin du fleuriste... Quelle idée aussi de lui donner à manger du sang, voire des morceaux de cadavres, voire des cadavres.

LA PRÉSENTATION
Il ne s'agirait pas de se méprendre: c'est d'un film comique qu'il s'agit ici. Un film fondateur, un événement historique, comme le Napoleon d'Abel Gance ou le Hellzapoppin d'HC Potter. Sauf qu'il s'agit ici du record du monde du nanar, un film à regarder la bouche ouverte, parce qu'on n'en croit pas ses yeux. (pour lire la suite c'est par ici)

Le film à été repris en 1986 dans une version comédie musicale complètement dingue. C'est un genre totalement différent du premier mais on peu dire qu'il a aussi son charme. Si ça vous tente d'y jetter un oeil, voila le film complet sur Megavideo. Et pour ceux qui seraient à l'aise avec l'anglais, j'ai aussi la version de 1960 qui en vaut vraiment la peine ! (Je l'ai pas trouvé en version sous titré, snif)

La réplique préféré de "l'artichaut" est devenu culte : "Feed me !" ou "Nourrit moi !" lorsqu'il à besoin de sang humain. Sans oublier l'incroyable chanson de fin "Je suis un gros dégueulasse" c'est juste dément. Pour ceux qui ne sont toujours pas motivé pour visionner le film voila un extrait de la fin (totalement magique la fin d'ailleurs !) avec donc cette fameuse chanson.

Bref ce film est complètement improbable, sortit tout droit d'une autre dimension, mais punaise quel régal ! C'est encore une énorme source d'inspiration pour moi. Je ne remercierais jamais assez mon papa pour m'avoir laissé découvrir ce film durant ma tendre enfance.